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24 novembre 2006

P S Y

Ils nous demandent de faire un choix, dès cette année. Dans les autres facs, le choix se fait pour la quatrième année, première année de master.
Je suppose que c'est ainsi qu'ils font le tri dans les élèves dès l'année de la licence, et que sur une grosse soixantaine, ils n'en retrouvent juste un peu moins qu'une vingtaine l'année suivante.
Le premier choix n'a pas été très difficile pour ma part. Psychopathologie, ou psychologie sociale. Le travail dans le milieu des entreprises, ne m'intéresse pas beaucoup, moins que le reste en tout cas. On gère les conflits, on fait passer des tests, théories de la communication, non non.
Pour la psychopathologie, c'est différent. Clinique = au chevet du malade. Les contacts. Beaucoup plus de débouchés selon moi, et puis une orientation dans la fac qui fait que, t'es pas trop motivée à choisir la sociale de toute façon.
Ensuite, on nous demande un positionnement personnel. Ce qui est, en fait, tout à fait normal.
C'est juste que ça en remue là dedans.
Se mettre à la place d'un praticien, se voir avec des personnes en face, qui ont une réelle souffrance, une demande (ou pas, d'ailleurs, mais ça, c'est autre chose...), s'imaginer sur le terrain, faire le tri de ce qui intéresse vraiment, propres motivations.
Choix des grands courants. Thérapies cognitives et comportementales, behaviorisme. Psychopathologie clinique, psychanalyse. Thérapies familiales et de couple, systémique.
Je ne cache pas que le dernier courant m'intéresse un peu plus que le reste. "Thérapeute familial en approche systémique". Ah ah.
Enfin, il faudrait déjà, avant que je me positionne, ranger tout le bordel qui règne à l'intérieur.
"Et si ça n'est pas ça que je veux faire?" "Et si faisais autre chose?" "Et si je me plante?" "Et si je regrettais un choix longtemps après l'avoir fait?" "Et si ça faisait plus de deux années que je me plantais?" " Et si ..."

19 novembre 2006

Run away

Comme beaucoup de dimanches, ne pas savoir.
Quoi faire. Avec qui.
L'envie d'être seule. Celle de parler.
Des questions qui pèsent. Ce défaut récupéré depuis quelques jours, qu'est celui de ne jamais avoir le cerveau en paix.
Toujours réfléchir. A tout. Puis à rien.
Le point plus ou moins central: toujours le même connard. Ce même soit disant ami, qui prend de plus en plus de plaisir à manipuler les gens. A montrer pour combler je ne sais quel signe de faiblesse, que Monsieur est le plus fort. Il finit par nous montrer qu'il est surtout très con, bien que, pour ma part, ça n'était pas quelque chose d'inconnu.
Mais j'ai du mal à saisir ce qui me ramène à lui à chaque fois. Des relations communes, sûr. Il n'y a pas que ça. Je disais l'autre jour, je ne veux pas admettre que je pourrais m'être trompée à son sujet. J'ai toujours pensé que c'était quelqu'un de bien, que derrière tout ce qui voulait bien montrer, sous cette putain de carapace, il y avait bien quelque chose.
Quelque chose de bien.
Ca m'aura coûté pas mal de claques. Prends-toi ça en pleine figure, un bon nombre de fois.
Au point où j'en suis, je me dis encore qu'il ne faut pas que je lâche maintenant. Que tout ce que j'ai enduré par sa faute, c'était pas pour rien. Alors que, si ça se trouve...
N'empêche que, quoi qu'il en soit, je l'attends au tournant. Bien qu'il n'en vaille pas la peine.
On m'a souvent reproché d'être têtue.
J'ai juste parfois, très envie d'arriver à mes fins, même si, ça peut en devenir stupide.