P S Y
Ils nous demandent de faire un choix, dès cette année. Dans les autres facs, le choix se fait pour la quatrième année, première année de master.
Je suppose que c'est ainsi qu'ils font le tri dans les élèves dès l'année de la licence, et que sur une grosse soixantaine, ils n'en retrouvent juste un peu moins qu'une vingtaine l'année suivante.
Le premier choix n'a pas été très difficile pour ma part. Psychopathologie, ou psychologie sociale. Le travail dans le milieu des entreprises, ne m'intéresse pas beaucoup, moins que le reste en tout cas. On gère les conflits, on fait passer des tests, théories de la communication, non non.
Pour la psychopathologie, c'est différent. Clinique = au chevet du malade. Les contacts. Beaucoup plus de débouchés selon moi, et puis une orientation dans la fac qui fait que, t'es pas trop motivée à choisir la sociale de toute façon.
Ensuite, on nous demande un positionnement personnel. Ce qui est, en fait, tout à fait normal.
C'est juste que ça en remue là dedans.
Se mettre à la place d'un praticien, se voir avec des personnes en face, qui ont une réelle souffrance, une demande (ou pas, d'ailleurs, mais ça, c'est autre chose...), s'imaginer sur le terrain, faire le tri de ce qui intéresse vraiment, propres motivations.
Choix des grands courants. Thérapies cognitives et comportementales, behaviorisme. Psychopathologie clinique, psychanalyse. Thérapies familiales et de couple, systémique.
Je ne cache pas que le dernier courant m'intéresse un peu plus que le reste. "Thérapeute familial en approche systémique". Ah ah.
Enfin, il faudrait déjà, avant que je me positionne, ranger tout le bordel qui règne à l'intérieur.
"Et si ça n'est pas ça que je veux faire?" "Et si faisais autre chose?" "Et si je me plante?" "Et si je regrettais un choix longtemps après l'avoir fait?" "Et si ça faisait plus de deux années que je me plantais?" " Et si ..."
Je suppose que c'est ainsi qu'ils font le tri dans les élèves dès l'année de la licence, et que sur une grosse soixantaine, ils n'en retrouvent juste un peu moins qu'une vingtaine l'année suivante.
Le premier choix n'a pas été très difficile pour ma part. Psychopathologie, ou psychologie sociale. Le travail dans le milieu des entreprises, ne m'intéresse pas beaucoup, moins que le reste en tout cas. On gère les conflits, on fait passer des tests, théories de la communication, non non.
Pour la psychopathologie, c'est différent. Clinique = au chevet du malade. Les contacts. Beaucoup plus de débouchés selon moi, et puis une orientation dans la fac qui fait que, t'es pas trop motivée à choisir la sociale de toute façon.
Ensuite, on nous demande un positionnement personnel. Ce qui est, en fait, tout à fait normal.
C'est juste que ça en remue là dedans.
Se mettre à la place d'un praticien, se voir avec des personnes en face, qui ont une réelle souffrance, une demande (ou pas, d'ailleurs, mais ça, c'est autre chose...), s'imaginer sur le terrain, faire le tri de ce qui intéresse vraiment, propres motivations.
Choix des grands courants. Thérapies cognitives et comportementales, behaviorisme. Psychopathologie clinique, psychanalyse. Thérapies familiales et de couple, systémique.
Je ne cache pas que le dernier courant m'intéresse un peu plus que le reste. "Thérapeute familial en approche systémique". Ah ah.
Enfin, il faudrait déjà, avant que je me positionne, ranger tout le bordel qui règne à l'intérieur.
"Et si ça n'est pas ça que je veux faire?" "Et si faisais autre chose?" "Et si je me plante?" "Et si je regrettais un choix longtemps après l'avoir fait?" "Et si ça faisait plus de deux années que je me plantais?" " Et si ..."